« Le nombre de plaintes liées aux violence de Cologne dans la nuit du Nouvel An a grimpé à 379 et les suspects sont principalement des « demandeurs d’asile » ou des « immigrés en situation illégale », a indiqué samedi la police locale. Sur ce total de plaintes, environ 40% ont été déposées pour des agressions sexuelles, a également dit la police, » selon RTS. La police, selon le quotidien allemand Bild, avait reçu l’ordre de taire les agressions de masse de la nuit de la Saint-Sylvestre, trop accusatrices pour le pouvoir et sa politique immigrationniste.
Manifestations et silence de la police
De ce fait des manifestations ont commencé à Cologne ce matin samedi avec un rassemblement de femmes devant la cathédrale où se sont produites les agressions de masse contre les autochtones allemands et plus particulièrement les Allemandes. C’est ensuite les sympathisants de Pegida qui sont venus manifester, choqués par la complicité passive des forces de sécurité qui au lieu de protéger les victimes ont reçu l’ordre de se taire et de minimiser les faits au maximum.
En effet la police allemande avait reçu l’ordre de ne pas divulguer les informations sur les délits commis par des centaines d’immigrés afin d’éviter des tensions sociales. C’est ce que révèle le quotidien Bild aujourd’hui.
Des agressions sexuelles massives ont été perpétrées à Cologne dans la nuit du 31 décembre, mais les autorités fédérales et locales ont prétendu ne pas avoir d’informations sur la participation de migrants dans ces attaques. Pourtant Die Bild, a pu se procurer un document policier du 2 janvier qui indique que les forces de l’ordre ont interpellé plus de 70 personnes, pour la plupart des demandeurs d’asile.
C’est aussi ce que confirme un haut responsable de la police de Francfort-sur-le-Main, selon qui la police avait reçu: « une interdiction de divulguer les crimes commis par les réfugiés ». Le Bild affirme, selon la même source, que les mêmes ordres ont été donnés à la police de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
Selon les premières révélations à chaud des médias allemands, ce sont des jeunes « d’apparence arabe ou nord-africaine » qui ont commis viols, agressions sexuelles et autres dans la nuit de la Saint-sylvestre à Cologne. Hambourg, Berlin, Francfort-sur-le-Main, Stuttgart et Bielefeld, ont également connu les mêmes crimes de masse de la part, principalement d’immigrés de confession musulmane, rentrés au titre de réfugiés .
Silence sur les viols de deux adolescentes
Par ailleurs le viol de deux jeunes-filles de 14 et 15 ans dans la ville de Weil-sur-Rhein (Baden-Württemberg), par des immigrés de même type avait été consciencieusement dissimulé. La police n’a divulgué les faits que le 7 janvier suite à de nombreuses requêtes de la part des médias, qui apparemment n’arrivaient pas à obtenir d’informations sur le sujet.
Répressions policières
Le cortège de la manifestation, partie, ce samedi 9 janvier, des abords de la cathédrale où avaient eu lieu les agressions sexuelles contre des femmes pendant la nuit de la Saint-Sylvestre, se dirigeait vers le sud de Cologne en agitant les drapeaux de Pegida et d’Allemagne et des pancartes « Rapefugees not welcome » (« les réfugiés violeurs ne sont pas les bienvenus »), qui ironisent sur les slogans de bienvenue aux migrants en en inversant le sens. Le slogan le plus vu était: « Merkel resign now » (Merkel dehors!). (Photo ci-dessus.)
C’est alors que la police est intervenue pour tenter d’interrompre la manifestation et la disperser à coup de canons à eau, avant d’utiliser des gaz lacrymogènes. Des manifestants ont alors répliqué et des policiers ont reçu des bouteilles et des tirs de pétards. Selon certaines sources il s’agirait de tirs de feux d’artifice. Or, dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier les voyous avaient en plus des agressions sexuelles, tiré des feux d’artifice dans la foule et l’avait agressée avec des bouteilles. La police d’Angela Merkel est beaucoup plus prompte à intervenir contre ceux qui protestent contre les viols que contre ceux qui les commettent.
Face au tollé général Angela Merkel qui est celle par qui le scandale arrive, a annoncé samedi, à Mayence, que les « réfugiés » condamnés, même à du sursis, pourraient être expulsés. Elle a envisagé une révision de la loi d’expulsion de l’Allemagne, qui ne permet pas à un prétendu « réfugié » d’être expulsé. La riposte est bien loin de ce que demanderait l’attaque, mais difficile de promouvoir des contraires.
Pegida en Belgique
Le mouvement de protestation qui a lieu en Allemagne a fait tâche d’huile en Belgique où Pegida se mobilise aussi: Plus de 300 militants de la branche flamande de Pegida ont manifesté samedi dans les rues d’Anvers au nord de la Belgique. Ils ont protesté contre l' »islamisation » de l’Europe et les « abus » du droit d’asile, a rapporté l’agence de presse Belga.
Les manifestants, dont certains venaient des Pays-Bas, ont défilé contre le « terrorisme, l’islamisation et les abus du droit d’asile ». Certains brandissaient une grande pancarte « Mohammed not welcome », avec une caricature du Prophète, fondateur de l’islam, portant une bombe en guise de turban. (Source)
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