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Le 1er novembre, l’incompréhension régnait parmi les habitants de Béziers après une nuit de violences, des racailles ayant amené pompiers et policiers dans un traquenard pour les assaillir, tandis qu’une école était en feu.

Aujourd’hui encore, 300 enfants de Béziers se retrouvent sans école, dans l’indifférence la plus totale du gouvernement. Ci-dessous, le coup de gueule de Robert Ménard, maire de Béziers. Pas un ministre n’a trouvé le temps de se rendre sur place. « C’est dégueulasse », conclut Robert Ménard.

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Louis
Louis
il y a 3 années

Pareille démonstration nous parait impossible en France ? C’est seulement parceque nous ne sommes pas unis ni assez nombreux dans nos rassemblements très sages. Si nous étions ne serait-ce qu’un million à Paris nous pourrions faire reculer ce pouvoir tyrannique.

LANKOU RU
LANKOU RU
il y a 3 années

Bulgarie ? l’exemple à suivre ! D’autres pays de l’Est ont déjà subi la révolte des Peuples !