Deux cent vingt neuf ans de deuil insurmontable
subirent la France et avec elle, l’ancienne Europe chrétienne.
Ce fut un matin du 21 janvier 1793 que ce pays, autrefois fille aînée de l’Église, fut profondément blessé au moment où son Roi, Louis XVI, lieutenant de Dieu sur la terre et représentant légitime de l’ordre voulu par son Créateur, fut immolé sur l’autel-échafaud tout comme son Père spirituel. Dans un sinistre roulement de tambour et sous le regard de 30.000 hommes, la monarchie cessa d’exister, en plongeant la France et la Chrétienté tout entière dans un deuil profond.
Ce fut toujours un matin du 21 Janvier 1793 que le régicide démantela l’union sacrée ente l’autel et le trône, union scellée par le baptême de Clovis et qui perdura 13 siècles jusqu’au martyr du Roi Louis XVI. Cette alliance sacrée unit à jamais le Créateur qu’est Dieu de sa créature à travers la monarchie chrétienne, unique forme de gouvernement d’ordre naturel et, donc, légitime, car elle fut voulue par Dieu. Et c’est précisément l’histoire qui se chargea de forger cette idée de légitimité de la royauté à travers le baptême de Clovis, le Sacre des rois et le triple acte notariale de Sainte Jeanne d’Arc.
Ce fut Clovis, un jeune roi qui scella à jamais le destin de sa Patrie avec Dieu. Son baptême donna ainsi naissance au V e siècle au premier État barbare catholique fondé sur les ruines de l’Empire Romain et fit de la France la fille aînée de l’Église et de ses souverains les Rois Très-Chrétiens.[1] C’est dans ce pacte que naquit l’alliance de l’autel et le trône. Cependant, cette alliance royale n’aurait pas été possible sans le renoncement de la part de Clovis au paganisme et, pour autant, au Satan. Dans ce sens, on doit rappeler que « la conversion de Clovis fut-elle le fruit du vœu sur le champ de bataille qui arracha le Roi au paganisme »[2]. Cet épisode fut suivi par le baptême du Clovis administré par Saint Remi qui au moment de cette cérémonie interpella le roi par ces célèbres paroles : « Depone colle sigamber »[3]. (Dépose tes colliers, amulettes et autres marques de l’appartenance au paganisme). Nous devons percevoir dans cette expression le renoncement au Satan et l’embrassement de Dieu, de la foi catholique et surtout de sa défense.
La conséquence naturelle du baptême de Clovis fut le sacre des rois[4] qui renforça encore plus l’idée d’une certaine naturalité politique voulue par le Créateur pour ses créatures qu’est la monarchie et dont la raison d’être n’est autre que la défense de l’Église avec les conséquences politiques qui en découlent. Rappelons dans ce sens, la cérémonie du sacre qui est issue du rituel propre aux sacres des rois de l’Ancien Testament de la maison de David[5] et qui fait du Roi non seulement un légitime héritier de l’alliance avec Dieu, mais aussi son défenseur principal tout comme ressort des paroles de l’archevêque de Reims au moment où il ceint le Roi avec le glaive et lui donne l’épée que le Roi reçoit et la tient la pointe tournée vers le haut : «Sire, prenez cette épée qui vous est donnée avec la bénédiction de Dieu, par lequel en vertu du Saint Esprit, vous puissiez résister et repousser tous vos ennemis, adversaires de la Sainte Église Catholique : vous puissiez aussi garder le Royaume qui vous est commis et défendre l’armée de Dieu par l’aide du triomphant invincible notre Seigneur Jésus-Christ»[6].
Cette naturalité dans la politique fut cimentée des siècles plus tard par Sainte Jeanne d’Arc à travers la triple donation qu’elle fit devant le notaire : « Notaire ! Écrivez, dit la Pucelle inspirée : le 21 juin à 4h du soir, l’an de Jésus-Christ de 1429, le roi Charles VII donne son royaume à Jeanne. Écrivez encore : Jeanne donne à son tour la France à Jésus-Christ. Nos Seigneurs, dit-elle d’une voix forte, à présent c’est Jésus-Christ qui parle : Moi, Seigneur éternel, je la donne à Charles VII »[7]. Cette émouvante triple donation devant notaire nous rappelle que c’est le Christ le Roi de France et le monarque est son lieutenant.
Et ce fut un matin du 21 Janvier 1793 que cette alliance divine fut cruellement dissoute car c’est contre le sacre du Roi, lieutenant du Christ au Royaume de France, selon la belle expression de Sainte Jeanne d’Arc, que la franc-maçonnerie sortit son arme mortelle qu’est La Révolution. Le Pape Pie IX disait que « le but de la Révolution est de détruire de fond l’édifice du Christianisme et de reconstruire sur ses ruines l’ordre social du paganisme » et pour y arriver le défenseur de l’Église, le trône, devait être mis bas[8]. C’est ce qui arrive à travers l’assassinat du Roi : « le roi Louis XVI a été assassiné car il était le roi oint à Reims ». C’est précisément le sacre des rois qui était visé par les révolutionnaires en vertu de son objectif qu’était comme on a vu la défense de la Chrétienté. Pour pouvoir construire « l’ordre social du paganisme », ils devaient chasser le baptême de Clovis qui marqua la victoire du catholicisme sur le monde païen. Oui, ce monde païen qui réchauffa tous les esprits révolutionnaires à partir de 1789 tel que nous le démontre l’histoire de la Révolution. Dans ce sens, il faut rappeler que la Révolution ne fut seulement le retour du paganisme de l’Antiquité gréco-romaine, mais Elle fut encore plus, Elle fut l’incarnation même de Brutus, l’assassin de César et un très fameux criminel de Rome. Ce fut au nom de cet assassin que l’Assemblée Nationale et le club des Jacobins (bras idéologique pendant la Terreur de la secte maçonnique du Grand Orient de France)[9] décidèrent l’abolition de la Royauté et le régicide.[10]Personnifiée dans ce criminel, la Révolution ne connut plus que les exemples et les maximes des tyrannicides de l’ancienne Rome qui deviennent l’argument des accusateurs du drame sanglant qui se dénoua le 21 janvier. [11] Par ailleurs, la statue de Brutus remplaça partout à Paris et en France les statues des Saints et des Rois. Ce criminel fut vénéré partout et fit verser des larmes : «O, vous, le plus grand des humains, vous dont mon cœur a arrosé des larmes d’admiration, divin Brutus».[12]Son buste ayant été amené dans le club des Jacobins de la rue Saint-Honoré, Manuel le présenta à tous les républicains de la France et tint ce discours le 27 août 1792 qui précéda à l’abolition de la royauté le 21 septembre de la même année: «C’est ici qu’il faut préparer la chute des Rois, la chute de Louis le dernier. C’est ici que doit reposer l’image de ce grand homme qui, le premier, a décidé de purger la terre des rois. Regardez-le bien citoyens, il vous rappela sans cesse que pour être de bons citoyens vous devriez être prêts à sacrifier même vos enfants » [13]. Et il continua : «Si à l’Assemblée se trouve un Brutus, la France est sauvée, puisqu’elle n’aura plus de rois. Nous devrons donc jurer et moi le premier que dans n’importe quel poste je me trouve, tous mes efforts tendront à purger la terre de cette peste appelée royauté»[14]. L’admiration pour ce criminel devint une épidémie qui s’étendit sur toute la France. À la fois, qu’on décida d’exterminer la royauté en son nom, les théâtres jouaient La Tragédie de Brutus de Voltaire. Rappelons dans ce sens que cette pièce de théâtre scandaleuse d’un point de vue moral qui vit le jour à Paris en 1730 et donc permise par le Roi Louis XV, proclame dans son dernier acte les paroles suivants : Que le sort de son sang (de Brutus) est de vaincre les rois. [15] . Et à peine la royauté fut-elle abolie que les grands criminels révolutionnaires de la Belle Antiquité frappèrent la tête du Roi. Tous les discours des journaux, des jacobins, ou de l’Assemblée reprirent les exemples de l’Antiquité et remplacèrent le nom de roi par celui de tyran.[16] Ainsi le prouve l’un des discours contre le Roi un mois avant le fatidique jour de 21 janvier : La France est plus avancée que Rome ne l’était, Rome avait expulsé son tyran, elle pouvait se borner au mépris ; notre tyran nous a trahi (en faisant référence à la question religieuse), et nous lui devons une haine implacable. [17] Dans la terrible séance du 15 et 16 janvier 1793 quand il eut lieu le vote motivé de chaque conventionnel pour la mort du Roi, sur 721 votants, il y eut à peine un ou deux dont la sentence à mort ne fût pas motivée par un souvenir païen comme c’est le cas de Voulant : Je demande pour Louis le même supplice qui fut infligé par Brutus à ses fils ; je vote pour la mort. [18] Et il nous semble inutile de continuer cette parodie ridicule qui ressemble à une scène d’un hôpital de psychiatrie. Si bien, aujourd’hui, on dirait que la Révolution fut le déchainement des schizophrènes qui ont refusé un certain traitement médical, et bien elle fut, à part de l’influence des idées maçonniques des Lumières, l’apothéose des décennies d’enseignement des études sur l’Antiquité gréco-romaine, période caractérisée par la dictature de l’anarchie et des vices. Et c’est exactement où on en est actuellement si on nous est permis la comparaison.
Et ce fut un matin du 21 janvier 1793 que le baptême de Clovis fut remplacé par cette dictature païenne dans sa forme de République.
Au XIXe siècle, Mgr Gaume avait bien cerné la nature de la Révolution en la dévoilant telle qu’elle est (car elle continue de l’être) : «Elle est celui que l’Évangile appelle le Prince et le Dieu de ce monde, essayant de rentrer en possession de l’empire dont le Christianisme l’avait dépouillé». Donc, Elle est l’incarnation du Satan. Cette terrible certitude a été démontrée non pas seulement par la plume des auteurs du XIXe, mais, par l’histoire de l’humanité tout entière. Et c’est à cause du Dieu de ce monde, Lucifer, que Saint Augustin écrivit le livre De Civitate Dei qui ne met pas seulement les bases de la philosophie politique, mais aussi celles de la lutte intemporelle entre le Bien et le Mal, entre la Cité de Dieu et celle du Satan car l’histoire de l’humanité ne connaît que deux protagonistes : Dieu et son Ennemi, cet ennemi qui voulut prendre la place de son Créateur selon l’Ancien Testament (Esaïe 14:16). C’est Lucifer le premier révolutionnaire, car à travers le mensonge, il conseille Eve de se révolter contre son Créateur et d’infliger sa loi en donnant ainsi naissance au pêché originel. Cette révolte contre Dieu continua à se forger tout au long de l’histoire à travers des hérésies comme le gnosticisme (IIIe siècle), une secte satanique qui fut reprise par Luther à travers le protestantisme et qui deux siècles plus tard, en 1717 à Londres, donna naissance à la secte la plus dangereuse qu’a jamais existée la franc-maçonnerie. Dès son apparition, elle fut condamnée par presque tous les papes depuis le XVIIIe siècle, à cause de son essence luciférine[19]. Mgr. Gaume disait qu’elle est la négation armée contre tout ordre légitime et naturel qu’est l’alliance de l’autel et le trône. Si bien, l’arme idéologique de Lucifer, Dieu de la franc-maçonnerie, est incarnée par la philosophie des Lumières, son arme physique est La RÉVOLUTION. C’est pour cette raison, qu’ELLE est considérée la source de tout mal à partir de 1789 de l’Ouest à l’Est car elle fut programmée dès le début partout en Europe. On ne peut pas prétendre que la volonté des hommes de 1789 qui brandirent la tête du marquis de Launay au bout d’une pique dans Paris, qui massacrèrent les prêtres en septembre 1792 ou encore qui exhibèrent les viscères de la princesse de Lamballe Savoie fut différente de la volonté des hommes qui exterminèrent les prêtres, l’aristocratie ou les paysans en Espagne entre 1808 -1814 et entre 1931 -1936, en Italie en 1960, en Russie à partir de 1917 ou encore en Roumanie en 1947.
Le Roi Très-Chrétien, Louis XVI avait bien compris l’essence de ce Mal car il écrit au duc de Polignac le 18 novembre 1790 : «Plus je médite l’histoire de mes aïeux, plus je suis convaincu que nous sommes à la veilles de la subversion la plus cruelle dans ses résultats»[20]. Le Roi semble avoir été convaincu que la Révolution provenait d’un mouvement irrésistible, du fait même de «la nature de ce mal» comme écrivait dans ses mémoires son ancêtre, Louis XIV, sur le protestantisme : «Il me semble, mon fils que ceux qui voulaient employer les remèdes extrêmes et violents ne connaissent pas la nature de ce mal, causée en partie par la chaleur des esprits, qu’il faut laisser passer et s’éteindre, plutôt que de la rallumer par une forte contradiction surtout quand la corruption est répandue dans toutes les parties de l’État»[21]. Et c’est bien cette position qu’il défendu jusqu’au martyr et se transforma en exemple pour tous les Rois européens qui connurent ce Mal qu’est La Révolution comme ce fut le cas du grand tsar Nicolas II Romanov qui fut immolé avec toute sa famille y inclus son petit chien (ce qui démontre la rage de Lucifer à travers la franc-maçonnerie bolchevique). Mais, retournons à notre Roi, et admirons sa clairvoyance car il avait prévu très tôt ce que les révolutionnaires les plus avancés n’envisageaient pas encore. En septembre 1789 voici ce qu’il écrivit à son frère : «Vous parlez de courage, de résistance aux projets des factieux, de volonté. Mon frère, vous n’êtes pas roi ! Le Ciel, en me plaçant sur le trône, m’a donné un cœur sensible, les sentiments d’un bon père. Tous les français sont mes enfants, je suis le père commun de la grande famille confiée à mes soins. L’ingratitude et la hargne arment contre moi ; mais les yeux sont obscurcis, les esprits sont égarés, la tourmente révolutionnaire a tourné tous les têtes»[22]. Oui, effectivement, la seule préoccupation du Roi était la protection de tous les français, fidèles à lui ou traîtres. Il ne voulait pas baigner en sang la sainte alliance entre Dieu et son lieutenant, le Roi. Cette conduite repose sur un principe exigeant, élevé, inaccessible au commun et peut-être pour cela incompris comme dirait Yves-Marie Adeline. Et une lettre éblouissante qu’il écrivit à ses frères nous dévoile encore plus sa vision prophétique sur la Révolution : «…On ne gouverne jamais une nation contre ses mauvaises habitudes. Cette maxime est aussi vraie à Constantinople que dans une République : les habitudes actuelles de cette nation sont les droits de l’homme, tout insensé qu’ils sont. Une force immense ne pourrait pas la gouverner trop longtemps dans une opinion contraire. Je sais tous les secours qu’on peut attendre des français qui resteraient auprès du trône. Mais leurs forces pourraient-elles dominer longtemps celles de la multitude ? Ne faut-il pas une armée ? Et où la trouver lorsque les idées révolutionnaires ont germé dans toutes les classes et lorsqu’elles sont encore les plus dominantes ? D’ailleurs, cette Aristocratie qui serait l’appui et la ressource de la Royauté, est-elle bien unie dans son esprit ? …. J’ai dons préféré la paix à la guerre, parce qu’elle m’a paru à la fois plus vertueuse et plus utile : je me suis réuni au peuple, parce que c’était le seul moyen de le ramener ; et entre leurs systèmes, j’ai préféré celui qui ne m’accusait ni devant mon peuple, ni devant ma conscience»[23].
À la vue de ce témoignage, on peut affirmer que le Roi Louis XVI n’était pas un roi faible comme l’histoire le décrit parfois. Non, il n’était pas le naïf qui ne comprenait rien. Ces mots, d’une sagesse intemporelle[24] dévoilent la force de son amour envers Dieu, et pour autant, envers ses créatures. Car seulement une personne forte qui aime Dieu et ses créatures jusqu’à renoncer à soi-même pourrait devenir martyr.
Certes, le Roi n’eut pas la force de caractère de la grande Reine de France, Catherine de Médicis, qui essaya de contrôler ce Mal dans la nuit de Saint-Barthélemy (je dis essaya car à la fin IL éclata), mais il eut quelque chose de plus grandiose : des vertus qui l’approchèrent de son Roi, Notre Seigneur Jésus-Christ, dont il fut le lieutenant légitime. Tout comme le Christ, il n’accepta aucun mal envers sa grande famille, la France, et préféra, en échange, donner sa vie pour elle. Le témoignage de Malherbes est dans ce sens, édificateur car il mit un genou en terre devant le Roi martyr et se prit à sangloter en lui demandant pardon pour tout le mal qu’il lui avait fait en encourageant l’entreprise abjecte et profane des Encyclopédistes et des francs-maçons. [25]
Et ce fut un matin du 21 Janvier 1793, que ce fils de Dieu, arrivé au pied de l’échafaud, ne se révolta pas. Il rabattit son col, mais au moment où les aides du bourreau voulurent lui lier les mains, il refusa.[26] Obéissant, il accepta ce dernier sacrifice avant son immolation, se soumettant à l’exemple du divin Maître qui allait l’accueillir.[27] Il monta les marches de l’autel-échafaud et, une fois sur la plate-forme, s’adressa à la foule, en faisant taire les tambours d’un geste royal : «Je meurs innocent des crimes qu’on m’impute. Je pardonne aux auteurs de ma mort et je prie Dieu que mon sang ne retombe jamais sur la France».
Et ce fut un matin du 21 Janvier 1793 que la France, cette grande famille de Louis XVI, commença son agonie et avec elle toute l’Europe chrétienne.
Catherine de Torquemada
Notes de bas de page
[1] Hervé Pinoteau, la Symbolique Royale Française V-XVIIIe siècles, Éd. Presse Sainte Radegonde, 2003, p. 20.
[2] Léon Levillain, La conversion et le baptême de Clovis, Revue d’Histoire de l’Église de France, tome XXI, 1935, p. 192.
[3] Francis Dallais, Op. cit., p. 112.
[4] Hervé Pinoteau, Op. cit., p.77.
[5] Francis Dallais, Le Sacré- Coeur, La France et les Bourbons, dans la revue Continuité, Pour la France et le Roi: Dieu Premier Servi, 1990, no. 6,7.
[6] Ce texte est extrait de l’ordre pour Oindre et Couronner le Roi de France pris d’une traduction de Jean de Foigny à Reims 1575, publié par M. l’Abbé Jean Goy à Reims 1987.
[7] Bernard Tissier de Mallerais, La misión toujours actuelle de Sainte Jeanne d’Arc, Conférence à Thouars, 1990 publiée dans la revue Continuité pour la France et le Roi : Dieu Premier Servi, 1990, No.6/7, p. 4.
[8] Francis Dallais, Op. cit.
[9] Augustin Barruel, Mémoires pour servir à l’histoire du Jacobinisme, 1797.
[10] Jean-Joseph Gaume, Op. cit, p. 194.
[11] Idem.
[12] Idem.
[13] Ibidem., p. 195.
[14] Ibidem. p. 196.
[15] Idem.
[16] Idem.
[17] Idem.
[18] Ibidem., p. 215.
[19]http://iapsop.com/archive/materials/revue_mensuelle_religieuse/revue_mensuelle_n16_apr_1895.pdf
[20] Yves-Marie Adeline, L’Aube royale, 1991, SICRE.
[21] Louis XIV, Mémoires pour l’instruction du Dauphin, 1661.
[22] Citation faite par Yves-Marie Adeline dans la revue Légitimiste sub Christi Regis Vexillis Militare Gloriamur, mars-avril, 1996.
[23] Idem.
[24] Idem.
[25] Yves-Marie Adeline, Op. cit.
[26] Francis Dallais, Le Sacré-Cœur, La France et Le Roi, dans la revue Continuité, Pour la France & Le Roi : Dieu, Premier Servi, 1990, no. 6,7, p. 12.
[27] Idem.
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