En ce 14 juillet, qui prétend être notre fête nationale mais commémore la barbarie révolutionnaire, citons cet extrait du pamphlet Pourquoi nous ne célèbrerons pas 1789.
« Quoi d’étonnant à cela ? La « révolution » avait pour devise « La Liberté ou la Mort », tel qu’on peut le lire sur ses en-têtes courants et sur les plaques émaillées de ses dignitaires (telle la plaque de l’incrédule et débauché évêque constitutionnel Minée, conservée au musée Dobrée à Nantes. La devise « Liberté, Égalité, Fraternité », d’origine maçonnique, est moins fréquente et plus tardive (1793), d’ailleurs employée sous la forme « Liberté, Égalité, Fraternité ou la Mort » (« grande fête » de l’Unité & de l’Indivisibilité, le 10 août 1793)).
.
Ayant très vite cessé d’être la Liberté, il ne lui restait, en effet, qu’à être la mort. Pas seulement la Mort des ruisseaux de sang sous la guillotine et des monceaux de cendres humaines du génocide vendéen, Mort ignominieuse pour réparable par la montée des nouvelles générations. Mais la Mort s’étendant aussi, d’avance, à ces nouvelles générations, jusqu’aux dernières, les nôtres.
.
La Mort à la fois nationale, spirituelle et biologique. La Mort de l’identité française et la Mort de la foi faisant cortège à la Mort de la vie, pour qu’il ne nous reste aucun espoir. Sauf si, Dieu aidant, se produit la « correction profonde » des « attitudes » trois fois mortelles héritées de la Révolution.Non, vraiment.
NOUS NE CÉLÉBRERONS PAS 1789.Jean Dumont.
Extrait de « Pourquoi nous ne célébrerons pas 1789 ». Éditions A.R.G.É.
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !