
L’Union Européenne a décidé de financer une étude sur le Coran afin de « découvrir comment il a influencé la culture et la religion en Europe entre 1150 et 1850 ». Derrière se cache la volonté woke d’imposer la légende d’une influence musulmane en Europe égale à celle du christianisme.
Le Conseil européen de la recherche contribue à environ 10 millions d’euros
9 842 534 euros. Un peu moins de 10 millions d’euros. Il s’agit de la contribution allouée par le Conseil européen de la recherche, une organisation créée par la Commission européenne et financée par le budget de l’UE, pour financer « Le Coran européen ». Il s’agit d’un projet visant à étudier le livre sacré islamique qui, selon les chercheurs impliqués, « a joué un rôle important dans la formation de la diversité religieuse et de l’identité de l’Europe au Moyen Âge et au début de l’ère moderne et continue de le faire ». Le projet met notamment en lumière la manière dont le Coran « a influencé la culture et la religion en Europe entre 1150 et 1850 ».
Comme le souligne le Journal du Dimanche par qui le scandale arrive si l’on peut dire, le projet implique plusieurs universités européennes, dont l’Université de Naples l’Orientale. Il s’agit de l’un des projets les plus financés à ce jour parmi les 17 000 soutenus par le Conseil européen de la recherche. Également connue sous l’acronyme Euqu, l’initiative dispose de son propre site Web et a vu la création d’un essai qui peut être acheté en ligne.
L’utilisation substantielle de fonds européens pour un projet qui vise à ‘valoriser le Coran’ est franchement déconcertante
L’étude a débuté en avril 2019 et se poursuivra jusqu’en mars 2026. Le débat est déjà vif. « L’utilisation substantielle de fonds européens pour un projet qui vise à ‘valoriser le Coran’ est franchement déconcertante », a commenté la députée européenne de la Ligue, Silvia Sardone. Elle a ajouté :
« Je me demande quels sont les critères scientifiques derrière ces choix et quelles sont les activités de contrôle, étant donné que ce n’est pas la première fois que des universités, des associations et divers types d’entités qui mettent en place des projets, des conférences et des campagnes que nous pourrions définir comme islamistes sont financés ».
Son collègue Fabrice Leggeri du Rassemblement national a annoncé une interpellation auprès de la Commission européenne, exprimant son inquiétude concernant « l’aspect pédagogique et public de ce projet, dont la portée est préoccupante », ainsi que les « liens directs avec des institutions connues pour leur proximité avec l’islamisme politique ».
Encore une fois, les technocrates mondialistes de l’UE sont les collaborateurs volontaires du wokisme historique qui voudrait imposer la légende d’une influence musulmane en Europe égale à celle du christianisme, et de l’islamisation du Vieux Continent autrefois chrétien mais aujourd’hui apostat.
Francesca de Villasmundo
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