Pour amener les dirigeants du monde au forum économique de Davos qui se tient cette année en Suisse, 1 700 vols de jets privés auront été nécessaires. Fameuse ironie alors que le sujet abordé est notamment le défi du «changement climatique ».
Le conciliabule mondialiste annuel entre courtiers du pouvoir, économistes, journalistes, dirigeants du monde, stars de la pop et titans de l’industrie se réunit pour traiter diverses questions qu’ils croient avoir une incidence sur la planète.
Sans sembler s’apercevoir de l’incohérence, les participants au Forum de Davos viennent de partout dans le monde et font tournoyer 1.700 jets privés dans Genève, pour parler de taxe sur le carbone et de lutte contre la pollution.
Or, « une heure de vol dans un jet privé brûle autant de carburant qu’une année entière de conduite d’une voiture », selon les rapports écologistes.
On culpabilise les consommateurs qui demandent un sac en plastique pour emporter leurs achats mais on se moque de la pollution créée par le rendez-vous annuel des maîtres du monde.
Parmi les participants à la réunion de cette année, il y a notamment le multi-millionnaire et ancien vice-président Al Gore, dont le nom est devenu synonyme de l’effort en cours pour convaincre les humains que nous sommes la principale cause du réchauffement climatique, une position que de nombreux scientifiques dissidents contredisent largement.
Les scientifiques de l’Indian Science Congress, par exemple, ont récemment exprimé la crainte que « le réchauffement climatique d’origine humaine » soit évalué hors de proportion, soulignant que des calottes polaires fondaient avant que les humains vivaient sur Terre.
« Même si je suis d’accord que les glaciers fondent en raison du réchauffement de la planète, si c’est à cause de l’homme, alors quelle était la raison de la fonte des glaciers dans la période Gondwana bien avant que l’homme apparaisse sur la planète?», demanda Dhruv Sen Singh, géologue de l’Université de Lucknow.
Le météorologue John Coleman, co-fondateur du réseau câblé Weather Channel, remet ouvertement en question la science du changement climatique.
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