Le premier ministre hongrois est toujours en première ligne dans le combat contre l’invasion de l’Europe. Viktor Orban s’est à nouveau levé contre la politique du droit d’asile de l’Union européenne, en l’exhortant à mieux contrôler ses frontières, au lieu de se concentrer sur comment protéger les « réfugiés » déjà arrivés :
« L’UE ne doit pas concentrer son attention sur la redistribution des réfugiés à qui a été concédé le droit d’asile mais sur la protection des frontières »
a-t-il déclaré en Bulgarie après une rencontre avec le premier ministre Boyko Borisov. Selon Orban, le modèle européen pour la redistribution des réfugiés dans les États membres « n’est pas adapté » et chaque pays devrait individuellement être autorisé à décider à qui donner refuge. La Hongrie proposera sa propre méthode pour cela :
« L’immigration menace notre sécurité, notre mode de vie et la culture chrétienne »,
a ajouté le premier ministre hongrois en décrivant l’augmentation du nombre de migrants comme
« des nuages obscurs qui se concentrent sur l’Europe ».
Si la tendance actuelle persiste, selon Viktor Orban la majeur partie des pays européen deviendra musulmane :
« Les nations disparaîtront, l’Occident tombera, tandis que l’Europe ne se rend même pas compte d’être occupée. »
Orban, véritable chef de l’aile anti-immigration des pays d’Europe centrale et orientale à l’intérieur de l’UE, a accusé « les politiciens de Bruxelles, de Paris et de Berlin » de « mettre l’Europe en danger ».
« L’Europe occidentale deviendra une zone d’immigration, un monde de population mixte, tandis que l’Europe centrale ira dans une direction différente »
a-t-il affirmé.
Francesca de Villasmundo
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