A group of migrants walk on the road near a border line between Serbia and Croatia, near the village of Berkasovo, Serbia, Monday, Oct. 19, 2015. Tension was building among thousands of migrants as they remained stranded in fog and cold weather in the Balkans on Sunday in their quest to reach a better life in Western Europe, two days after Hungary closed its border with Croatia and the flow of people was redirected to a much slower route via Slovenia. (AP Photo/Darko Vojinovic)
A group of migrants walk on the road near a border line between Serbia and Croatia, near the village of Berkasovo, Serbia, Monday, Oct. 19, 2015. Tension was building among thousands of migrants as they remained stranded in fog and cold weather in the Balkans on Sunday in their quest to reach a better life in Western Europe, two days after Hungary closed its border with Croatia and the flow of people was redirected to a much slower route via Slovenia. (AP Photo/Darko Vojinovic)

Une migrante, un enfant sur le dos, un bébé dans les bras, donnant la main à une petite fille, marchant pieds nus dans et sous la neige, accompagnée par 7 hommes, jeunes et moins jeunes, mais tous semblant forts et bien portant, les mains dans les poches, sous capuches et manteaux, chaussures aux deux pieds ! Le contexte est pathétique, on a froid pour cette femme et ses trois enfants qu’elle porte et entraîne après elle, et on se demande pourquoi les grands gaillards autour d’elle ne lui viennent pas en aide…

Prise dans les Balkans, par un célèbre photographe de l’Associated Press, Darko Vojinovic, le 19 octobre 2015, cette photographie a été totalement ignorée par les mass-media  du système qui pourtant avaient, du pôle nord au pôle sud, d’Orient à Occident, imprimé sur papier glacé ou étalé sur écran télé la photographie du petit Aylan noyé. Pour faire pleurer dans les chaumières sur le sort des pauvres réfugiés en recherche d’un monde meilleur !

On peut se demander pourquoi cette superbe photographie, sortie une fois sur le Daily Mail au milieu de nombreuses autres photographies, a été censurée, oubliée, cachée, mise au placard des belles consciences qui propagent l’information…ou plutôt la désinformation ?

Il suffit de la regarder avec des yeux grands ouverts et non fermés par les écailles du politiquement correct pour comprendre qu’elle n’est pas conforme à la doxa ambiante qui veut nous imposer l’idée de pauvres et gentils migrants, respectueux et patati et patata..., fuyant guerres et famines, futurs Einstein ou Mozart d’un monde occidental en mal de génies!

Cette image, prise sur le vif, par un photographe du système, dévoile le vrai visage de la mentalité  et de l’état d’esprit d’un grand nombre d’immigrés clandestins qui arrivent chez nous : musulmans convaincus et pratiquants pour la plus part, ils n’ont aucun respect des femmes, ne de la leur ni de celle des autres, les faits de Cologne et d’ailleurs, de la Saint-Sylvestre dernière, nous l’ayant démontré amplement.

Pour ne pas réveiller nos mentalités occidentales anesthésiées et endormies face au péril majeur qu’est cette invasion migratoire, nos journaleux vendus aux intérêts des grands groupes industriels et inféodés à l’idéologie sans frontières immigrationiste et mondialiste, continueront à publier de jolies photographies de gentilles familles de migrants, si éloignées de la triste réalité qui frappe et violente une Europe désorientée.

Francesca de Villasmundo

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