Ce matin, des individus ont fait irruption à l’église Saint Nicolas du Chardonnet à Paris, pendant la messe de 10h30 avec des boules puantes. Certains ont même évoqué des fumigènes. Il semblerait que ce soit l’oeuvre de quelques antifas qui n’avaient rien d’autre à faire le dimanche matin… Cette attaque laisse totalement indifférents nos politiques ! Quelles auraient été les réactions indignées si un commando de « fascistes d’extrême-droite » avaient fait la même chose dans une mosquée ?
Lors de la messe de 10h30 à Saint Nicolas du Chardonnet, des personnes ont fait irruption dans l’église en faisant usage de fumigènes…
— Marc (@JackSparrow1147) November 17, 2013
Des personnes utilisent des fumigènes et des boules puantes pdt la messe à Saint Nicolas du Chardonnet. Ils veulent la guerre? Ils l’auront!
— Marc (@JackSparrow1147) November 17, 2013
Notons le communiqué de Bruno Gollnisch, député FN au parlement européen:
« Ce matin, en pleine célébration de la grand Messe dominicale, l’église St. Nicolas du Chardonnet dans le Ve arrondissement de Paris a été attaquée en toute vraisemblance par un groupe « antifa ». La haine gauchiste et anarchiste a encore frappé. Dans n’importe quel autre lieu de culte, ces faits susciteraient l’indignation générale…
Depuis des mois, les agissements de ces milices extrêmement violentes se généralisent, sans la moindre intervention des pouvoirs publics. Hier c’est un jeune militant pro-vie qui était caillassé dans un rassemblement parfaitement déclaré. Faudra-t-il un drame pour agir ?
Je tiens à réaffirmer ma solidarité envers les victimes de plus en plus nombreuses de ces violences, et dénonce fermement les sauvages qui agissent et les politiques qui les protègent. »
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Guerre de Gaza : et si l’on cessait enfin de se laisser manipuler ?par Jean-Paul Le Perlier 26 septembre 2024 dans Actualité internationale, Economie 2

Alors qu’une nouvelle offensive israélienne permet aux « experts » – le plus souvent autodésignés ! – de ressasser les mêmes commentaires sur le nombre d’otages survivants, les pertes militaires, la multiplication des victimes civiles, voire sur la sophistication d’armes nouvelles, si l’on cessait enfin de laisser confisquer le débat par ces stipendiés de la désinformation ? Ne serait-il pas temps de prendre en compte l’aspect dérisoire de l’émotionnel, brandi par les manipulateurs d’opinion, pour privilégier le rationnel, suggérant dès aujourd’hui les questions sur lesquelles se pencheront un jour d’authentiques historiens ou géopoliticiens : pourquoi ce conflit ? Et pourquoi maintenant ?
Des questions dont on s’étonne qu’elles puissent être totalement occultées tant les réponses en sont connues et depuis longtemps évidentes. Réponses qui se résument en un seul mot, mais qui fut à l’origine de nombre de conflits sur toute la surface du globe : hydrocarbures !
C’est en effet au siècle dernier, dans les années 1990, que des forages ont révélé que la Méditerranée orientale, sans être à même de rivaliser avec le Golfe Persique contenant 40% des réserves de gaz mondiales, n’en était pas moins un eldorado en puissance, avec 2 000 milliards de m3 de gaz. Chiffres revus depuis à la hausse par la très crédible US Geological Survey, faisant état de plus de 3 milliards de barils de pétrole, mais de … 9 700 milliards de m3 de gaz !
Un premier gisement, dit « Gaza Marine 1 », a été découvert à la fin des années 1990 dans les eaux territoriales de Gaza. Il est situé à 36 kilomètres à l’ouest de la Bande de Gaza, dans les eaux méditerranéennes.
Un second gisement, « Gaza Marine 2 » fut découvert dans la zone maritime frontalière entre Gaza et Israël.
Mais les Palestiniens ne purent jamais, cependant, exploiter ces deux gisements gaziers en raison de l’opposition d’Israël, dont l’invasion de Gaza, en 2008 fut un élément déterminant.
Les gisements Gaza Marine sont ainsi considérés comme les plus anciens gisements non exploités au monde ! Ce qui est d’autant plus préjudiciable que Gaza manque d’électricité, coupée plusieurs fois par jour, alors que les réserves de ce gisement, estimées à plus de 30 milliards de m3, à même de fournir annuellement 1,5 milliard de m3 pendant 20 ans, permettraient d’alimenter toutes les centrales électriques palestiniennes, et même d’en destiner une large part à l’exportation.
MEME MOTIF POUR L’ATTAQUE CONTRE LE LIBAN ?La découverte toute récente d’un potentiel colossal de gaz naturel et de pétrole sous les eaux de la Méditerranée orientale a aussi concerné le Liban qui, depuis 2010, doit faire face à un contentieux avec Israël, concernant la délimitation des eaux territoriales permettant l’exploitation de ces gisements.
Une récente analyse du Centre Français de Recherche sur le Renseignement confirme que le litige concernant les gisements gaziers entre Israël et le Liban est l’une des nombreuses questions qui pourraient être concernées par l’issue du conflit israélo-palestinien, lequel n’est pas un conflit isolé mais une pièce d’un puzzle beaucoup plus vaste comprenant la sécurité énergétique…
Comme le précise la « Revue de Défense Nationale » : « l’approche juridique se révèle insuffisante car les deux États ne suivent pas les mêmes règles. »
Israël vient donc de tenter une autre « approche »…
MAIS POURQUOI LE CONFLIT S’EST-IL INTENSIFIE ? Pour Israël, mais aussi pour les pays limitrophes concernés, l’exploitation du gaz naturel a pris une importance considérable pour plusieurs raisons :
1 : Dans le cadre de la lutte contre le réchauffement climatique dit « anthropique », le gaz naturel qui émet 40 % de moins de gaz à effet de serre que le charbon, est considéré « combustible de transition », et devient donc un enjeu industriel majeur.
2 : Il en résulte dès lors un besoin en constante progression, la sacro-sainte loi « de l’offre et de la demande » ne manquant pas de faire progresser sa valeur marchande. Au point que certains analystes évoquent un « âge d’or » du gaz naturel !
3 : Valeur marchande atteignant de plus des sommets inespérés, répercussion collatérale de la raréfaction du gaz de Sibérie, consécutive aux sanctions contre la Russie et au sabotage du gazoduc Nord Stream, en mer Baltique, le 26 septembre 2022.
Il semble bien qu’avec la mort de son chef le Hezbollah a subi une défaite majeure et se trouve désorganisé, l’Iran menacé de frappe atomique par les usa n’interviendra pas où très peu,Tsahal avec la complicité du monde occidental va donc occuper le sud Liban en éliminant tous ses opposants,seule la Russie pourrait changer la donne
Vous avez oublié la Chine dans votre liste!
Comprenne qui pourra ,de -nouveau -, -quand la vérité éclatera—-,cela arrivera , nos grands bavards des -médias les plus en vue , se cacheront de honte.J’attends!!!-