Emmanuel Ratier, journaliste d’investigation, réédite une version mise à jour (100 pages de plus !) de son livre Au cœur du Pouvoir consacré au club Le Siècle, organisme au sein duquel on retrouve les plus influents acteurs de la finance, de la politique et des médias en France.
Emmanuel Ratier présente : Au coeur du pouvoir… par kontrekulture
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Quelle importance !!! Les Gourous de la religion « conconciliaire » peuvent faire ce qu’ils veulent après leur révolution de 1962… Que cette nouvelle branche du protestantisme qui en compte déjà de trop nombreuses multitudes, peuvent bien vénérer Luther, la terramama ou le bibendum Michelin ne me préoccupe pas plus que cela… Demain dimanche, je prierai pour leur conversion et en latin… Dominus meus et Deus meus !
Vive le Christ-Roi !
Les chauves-souris qui ont étouffé l’Eglise veulent interdire à d’autres de l’aider à respirer.
Quant à tenter sa restauration ? Crime de lèse-majesté !
résultat de la pastorale de Vatican II :
il n’y a plus que 2% des Français qui vont à la messe chaque dimanche;
contre 25% en 1960.
et ne parlons pas du génocide des prêtres ; ils sont passés dans un nuage de gaz mortel.
une réforme qui s’ appelle : suicide collectif.
Je vais encore plus loin: il reste 0.5 % de catholiques car si l’on va à la « messe » moderne et qu’on refuse 1 SEUL article de foi, on n’est plus catholique. Les sondages démontrent que ceux-là ne croient plus à la résurection, au péché originel, etc.
Et même, certains évêques ne croient pas à la Sainte Trinité !
Que dire de l’enfer, du purgatoire (des images d’Épinal pour eux), de la virginité perpétuelle de Marie, etc.
Ils sont décevants, lamentables, toujours dans le sens du vent alors que les églises et les séminaires se vident ; ces éveques conciliaires sont comme au temps de Ste Jeanne d »Arc!
Paris, le 15 août 1982
NOTRE CONSTANTE REVENDICATION LÉGITIME
Depuis la parution dans NOTITIAE n°185 de décembre 1981 du « rapport sur l’enquête du Cardinal James KNOX, ancien Préfet de la Congrégation Sacrée pour les Sacrements et le Culte Divin, concernant l’usage du latin et la Messe tridentine », la question liturgique rebondit. Ne convient-il pas de rappeler brièvement ce qu’en pensaient les Cardinaux OTTAVIANI et BACCI dans leur « bref examen critique de la nouvelle Messe » présenté à Paul VI le 3 septembre 1969 ?
Les deux prélats déplorent notamment que « le nouvel Ordo Missae, si l’on considère les éléments nouveaux, susceptibles d’appréciations fort diverses, qui y paraissent sous-entendus ou impliqués, s’éloigne de façon impressionnante, dans l’ensemble comme dans le détail, de la théologie catholique de la Sainte Messe, telle qu’elle a été formulée à la XXIIème session du Concile de Trente ».
Citant « un périodique connu, destiné aux évêques et exprimant leur enseignement », les Cardinaux OTTAVIANI et BACCI estiment que « l’on veut faire table rase de toute la théologie de la Messe. En substance, on se rapproche de la théologie protestante qui a détruit le sacrifice de la Messe ». Or, ces critiques déterminent parfaitement le motif essentiel de notre attachement à l’ancienne liturgie. Il est donc vain d’évoquer, pour l’expliquer, la nostalgie, ou des considérations d’ordre politique, si tant est qu’elles puissent être objectivement établies. De plus, nous trouvons, à l’instar de nos amis britanniques, que « l’ancien rite consacre plus de temps que le nouveau au recueillement pendant la Messe, que le latin n’a jamais été un obstacle à la compréhension… » et nous ressentons également « le nouveau rite comme étant moins fastueux, moins propice au recueillement et, par dessus tout, au respect dû au Saint Sacrement… » (THE UNIVERSE du 31 octobre 1980). Nous partageons donc entièrement leurs conclusions.
D’autre part, la Congrégation nous prête le sentiment que « ceux qui célèbrent la Messe de Paul VI ne croient pas à la présence réelle du Christ dans l’Eucharistie » (sic). Cette question revêt une extrême gravité. Elle rejoint l’objet principal de notre motivation, la théologie de la Sainte Messe. « La « cène » est caractérisée, comme étant celle de l’assemblée présidée par le prêtre ; celle de l’assemblée réunie afin de réaliser « le mémorial du Seigneur », qui rappelle ce qu’Il fit le Jeudi saint » écrivent en substance les Cardinaux OTTAVIANI et BACCI, poursuivant : « tout cela n’implique ni la Présence réelle, ni la réalité du Sacrifice, ni le caractère sacramentel du prêtre qui consacre, ni la valeur intrinsèque du Sacrifice eucharistique indépendamment de la présence de l’assemblée. En un mot, la nouvelle définition de la Messe (Institutio generalis, chapitre 2, n°7) ne contient aucune des données dogmatiques qui sont essentielles à la Messe et qui en constituent la véritable définition. L’omission, en un tel endroit, de ces données dogmatiques, ne peut être que volontaire ». Or, nos amis d’outre-Manche jugent « la traduction anglaise de la Messe laide, inexacte et doctrinalement défectueuse… » Certains même souhaitent que « l’on traduise l’ancien rite en anglais » (THE UNIVERSE du 31 octobre 1980). Ce sont précisément les « traductions inexactes et doctrinalement défectueuses », la façon dont elles sont ressenties et interprétées, les comportements, qui nous incitent à penser que certains « catholiques » ne croient pas ou plus à la Présence réelle dans la Sainte Eucharistie. Nous nous indignons que des évêques, au lieu d’observer l’évidence, se plaignent des personnes qui ne font que la constater. Nous réclamons un retour à l’orthodoxie.
Non, nous ne sommes pas de perpétuels mécontents, des aigris nostalgiques et politisés qui, sans motifs sérieux, pour se mettre inconsidérément en évidence, entretiendraient la querelle liturgique. Nous aimons l’Église à laquelle nous avons choisi d’appartenir. Nous avons seulement retenu que « la foi procure la vie éternelle ».
Pourquoi encore en parler ? Ces types ne sont plus évêques que de nom. Interpellé sur le texte conciliaire qui déclare que les musulmans adorent le même Dieu que les catholiques, le président des « évêques » de France a répondu que « le concile n’avait jamais dit cela »… Il n’a même pas lu le concile…
quand les évêques sont en communion avec un diable déguisé en prêtre qui , avec son nez rouge de sinistre clown , ose dire: » je crois en Dieu; pas le Dieu catholique ; il n’y a pas de Dieu catholique « ;
tout est fini.
ils ne veulent pas reconnaitre que c’est vatican II qui a vidé les églises et les séminaires. Ils nient l’évidence même !
C’est la jalousie qui les fait parler ; OEcuménisme oui, mais plutôt avec les hérétiques .
Non, c’est l’incompatibilité des deux rites et ils le savent, car c »est voulu!…
Non, c’est l’incompatibilité entre les deux rites et ils le savent, car c’est voulu!…
Les cardinaux Ottaviani et Bacci furent les premiers à condamner cette nouvelle messe protestantisée fabriquée par le franc-maçon Bugnini avec l’aide de pasteurs protestants. Les sacrilèges dus à cette abominable nouvelle messe s’accumulent chaque jour comme le dit l’article ci-dessus. Le refus de cette nouvelle messe est doctrinal et non sentimental.
On connait l’hostilité des évêques français contre les fidèles de la Tradition. Les Marty Etchegaray qui restèrent silencieux sur l’avortements retrouvaient toute leur vigueur pour combattre la Tradition. Les Lustiger Decourtray continuèrent de plus belle. Maintenant les évêques français ont perdu de leur superbe. Ils n’ont plus l’influence des évêques des années 70 2000. Les pouvoirs politiques les traitent avec mépris comme on a pu le voir à l’occasion du confinement. Les évêques français sont complètement discrédités.
On peut se demander si le pape Paul VI (qui n’avait rien d’un saint même à titre personnel car on sait qu’il avait des moeurs abominables) qui imposait de manière dictatoriale une messe copiée sur la cène protestante avait la foi catholique.
Enfin rappelons que sans Mgr Lefebvre et la Fraternité St Pie X la vraie messe aurait disparu.