Le président des Etats-Unis, Barack Obama, a souhaité jeudi aux musulmans un « Joyeux Aïd », en référence à l’Aïd el-Fitr qui marque la fin du mois du jeûne du ramadan.
A cette occasion Barack Obama a salué l’initiative de Bill de Blasio, le maire de la ville de New York qui a décrété un jour férié dans les écoles de la ville pour célébrer cette fête musulmane.
Cette décision prise en mars par le maire de New York « est une reconnaissance de la diversité et du caractère inclusif qui ajoutent à la richesse de notre nation », a déclaré le président des Etats-Unis dans un communiqué louant l’initiative de la ville de New York d’ajouter deux fêtes musulmanes aux jours de congés dans ses écoles publiques.
En effet, les écoliers new-yorkais n’auront pas classe pour l’Aïd el-Fitr ni pour l’Aïd el-Kébir (ou Aïd al-Adha), la fête du sacrifice. Il s’agissait d’une promesse de campagne électorale de Bill de Blasio.
En juin, Barack Obama avait invité plusieurs musulmans à la Maison-Blanche pour partager le repas de l’iftar, marquant la rupture quotidienne du jeûne.
Notons que le maire de New York Bill de Blasio avait mené une campagne électorale orientée vers les différents communautarismes, comme en témoignent les illustrations ci-dessous. Un seul point commun : la déchristianisation de la société.
Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !
Ce zèbre n’aurait-il pas quelque lien de parenté avec un certain Benito M…….i, d’origine italienne?
Comparons ce qui est comparable. Mussolini » avait pas cette bassesse ni cette vilénie.
je ne savais pas qu’Estrosi était juif…et f-m
Ce type est un âne; est les fumeurs, et les alcooliques, et ceux qui « bouffent trop »?
Cette tendance à la discrimination chez le larbin satrape Estrosi, il la tient de ses maîtres de Tel-Aviv.
Une phrase à retenir de Robert Malone, l’un des inventeurs de la technologie ARNm:
« C’est la première fois dans l’histoire qu’on reproche l’inefficacité d’un médicament à ceux qui ne l’ont pas pris »
Sauf que ce n’est pas un médicament. Ces faux vaccins sont des armes biologiques. Les médicaments qui marchent sont interdits: ivermectine, hydrochloriquine, armoise etc…La connerie des peuples atteint des sommets inimaginables, ils gobent tous les mensonges en boucle. Estrosi se retrouvera, avec d’autres emmerdeurs, devant un tribunal jugeant ce génocide programmé mondialement, tôt ou tard. Ils rigolent? Ils croient profiter de l’impunité?
L’avocat Fuellmich s’en
Occupera….
est-ce que la radicalité des mesures serait liée au montant des subventions de l’Etat aux collectivités locales, ou autres mesures similaires?
Le peuple de Barabbas adoptera toujours la politique de Barabbas, mensonges, vols, meutres et viols des lois de la Constitution, des principes de la Moralité, profanation du Sacré et bafouement des Droits et des Libertés fondamentale universelle et propre à chacun.
Normal.
C’est un Facho + verifiez les conflits d’intérêts….
Estrosi est le prototype du politicien combinard, se vendant au plus offrant en fonction des intérêts de sa petite carrière. Par ces propos il veut surtout se faire bien voir du système. Si on le suit il faudrait enfermer les non-vaccinés chez eux en les privant de leur moyen de subsistance ! Ces propos abjects sont en fait une sorte d’appel au meurtre de citoyens qui n’ont violé aucune loi, faut-il le rappeler.
Tant qu’on aura une clique de ce genre au pouvoir on n’a aucune chance de s’en sortir.
On sait qu’il ose tout comme aurait dit le regretté Lino Ventura, mais l’auteur de l’article comment une erreur à propos de l’obligation du port du masque en voiture : ce n’est pas de la compétence du maire, mais c’est un arrêté préfectoral et cette mesure d’une insondable stupidité avait bien été confirmée par le cabinet du préfet à la suite d’une demande d’éclaircissements. De mesures similaires avaient été prise par le représentant de l’Etat pour d’autres villes dont Paris et Versailles, mais elles avaient été annulées par les tribunaux administratifs, mais à Nice, personne n’avait introduit de recours