Israël se félicite de l’arrivée de Boris Johnson aux Affaires étrangères, selon le choix de Theresa May. Tous les deux sont considérés comme de précieux amis d’Israël et de la communauté juive.
Ancien maire de Londres et député d’Uxbridge et de South Ruislip, Boris Johnson est vu par la presse israélienne comme l’un des plus pro-israéliens des politiciens britanniques, notamment pour son engagement contre le boycott d’Israël.
En 2015, lors d’un voyage officiel en Israël, Boris Johnson avait fait part de ses racines juives lors de sa visite au Kotel, déclarant : « Du côté de ma mère, j’ai des ancêtres juifs originaires de Moscou dont certains étaient des rabbins ».
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Monseigneur Fellay est à la Fraternité St PIe X ce que Marine Le Pen est au FN.
excellent Jacques!
même chemin effectivement
Votre intervention est pitoyable !
Mgr Lefebvre à Lille en 1976 :
« Je voudrais également dissiper un autre malentendu, et là je suis désolé, mais je suis obligé de le dire, ce n’est pas moi qui me suis appelé le chef des traditionalistes. Vous savez qui l’a fait il y a peu de temps, dans des circonstances tout à fait solennelles et mémorables à Rome. On a dit que Monseigneur Lefebvre était le chef des traditionalistes. Je ne veux point être le chef des traditionalistes, et je ne le suis point. » Voir en PJ le sermon de Lille.
Circulaire de M. l’abbé Schmidberger, Supérieur Gal de la FSSPX, quelques mois après la mort de Mgr Lefebvre :
« C’est pourquoi un certain nombre d’entre vous ont eu ces dernières années, fréquemment recours à Mgr Lefebvre comme à une autorité de suppléance. A vrai dire, il fut davantage Père, conseiller, et ami qu’autorité dans le sens juridique. […] C’est dans un esprit de service que Mgr Fellay exercera cet office, non pas en tant que membre de la Fraternité Saint Pie X, mais comme évêque catholique. Chaque communauté est absolument libre de s’adresser, ou non, à lui. Ni lui, ni la Fraternité n’ont la moindre intention de mettre la main sur les autres communautés de quelque façon que ce soit. » (Lettre circulaire aux différents monastères et couvents de Tradition, Abbé Franz Schmidberger, 27 mai 1991).
C’est contradictoire car voici M. l’abbé Thouvenot le 16 février 2018 :
« Il est vraisemblable que la question du statut de Prélature personnelle soit posée lors du Chapitre. Mais c’est le Supérieur général seul qui conduit la Fraternité et qui a la responsabilité des relations de la Tradition avec le Saint-Siège.
L’intervention de Jacques et de Patate est tout à fait fondée. La FSSPX oublie que l’autorité a pour finalité le Bien Commun. Or ce Bien Commun n’est pas de pactiser avec l’ennemi, encore moins sur la base d’un compromis, et encore moins sur la simple question canonique car pour cette dernière, il n’y a jamais eu de problème.
On va peut-être commencer à s’enlever le pâté qu’on a dans les yeux chez les tradis, et retourner aux grandes finalités…Attendons le chapitre général… D’ici que nous ayons un supérieur qui annule tout ce qui est fait depuis 2001, l’eau croupie a le temps d’effacer les mémoires de ces dernières années dans la tête des catholiques…
Je pensais pouvoir mettre une pièce jointe, mais ce n’est pas possible apparemment. Enfin… Facile de retrouver le sermon de Mgr Lefebvre en question…
Le code de Droit canonique est formel : la juridiction de suppléance est accordée d’une manière ponctuelle, elle répond à un besoin personnel, individuel et circonstancié du fidèle. Elle ne dépasse pas ce cadre précis. Elle n’est pas accordée dans un domaine plus large.
Donc, à-moins que les circonstances de l’époque de Mgr Lefebvre aient changé à Rome, il n’y a pas de raison de rallier dans l’esprit ou dans l’Agir.
La FSSPX a été canoniquement érigée par l’évêque de Fribourg, conformément à la procédure de création de ce genre de fraternité.
Quant à la direction de la FSSPX, elle a pour objet les statuts même de ladite FSSPX. Ces objets, ou finalités, sont la distribution des sacrements, la pérennité du sacerdoce authentiquement catholique en attendant un retour à la normal à Rome.
Est-ce le cas à l’heure de la promotion de Luther ?
Est-ce le cas à l’heure de la pseudo-pastorale conjugale ?
Est-ce le cas avec la question disputée (c’est déjà trop) du célibat des prêtres ?
Est-ce le cas avec la relativisation de l’homosexualité et l’ouverture qui leur est faite ?
Est-ce le cas avec un Pape qui ne s’assume même pas Pape à son élection, se présentant comme évêque de Rome seulement ?
Est-ce le cas avec la redéfinition des sacrements comme phénomène personnel de rédemption par une Foi immanente qui vient de l’homme ?
Est-ce le cas avec la passivité d’une Rome complice de l’immigration de masse à laquelle nous assistons sans discernement ?
Et tant d’autres.
Non, ce N’EST PAS le cas. Alors comme disent les anglais : keep your distances !
La recherche, quoique bien légitime, de l’unité, ne peut se faire au mépris des conditions de toute unité, la vérité.
« Est-ce le cas avec un Pape qui ne s’assume même pas Pape à son élection, se présentant comme évêque de Rome seulement ? »
Je suis d’accord. Cette question m’a fait penser à une invocation et réponse dans la litanie anglicane : ‘From the fury of the North wind and the Bishop of Rome, good Lord, deliver us.’
Rien à voir, mais si vous permettez une petite observation: ‘Keep your distance’ : au singulier, je suppose parce que c’est toujours dans un cas spécifique qu’on le dit ; mais de toute façon le pluriel ne s’utilise jamais dans cette locution. Je suis d’ailleurs tout à fait d’accord que dans le cas particulier on devrait bien keep one’s distance et s’occuper de la messe et des sacrements, keeping pourtant an eye on Menzingen, pour ainsi dire. Veuillez dans les circonstances excuser cette prose macabrement macaronique.