La milice auxiliaire du régime, certaine de son impunité, passe au cran au-dessus. Cette fois, à Meylan, dans la banlieue de son fief de Grenoble, la vermine rouge s’en est prise directement aux familles des gendarmes, en faisant un trou dans le grillage à la cisaille et pénétrer nuitamment dans l’enceinte non pas de la gendarmerie elle-même, mais des immeubles de l’allée des Frênes, où vivent les neuf familles des militaires, soit 24 personnes.
Dans la nuit du 25 au 26 octobre (plus exactement à 3 heures du matin), un incendie s’est déclaré à la caserne de gendarmerie de Meylan. Les gauchistes ont mis le feu à 3 véhicules, crevé les pneus d’un autre et ont cadenassé le portail donnant accès au parking afin de ralentir les secours. Ce sont des véhicules personnels des gendarmes qui ont été visés : « Les gendarmes ont été réveillé par les odeurs de fumée, elles provenaient de dessous les bâtiments où sont logés les militaires et leurs familles Les occupants des logements ont été évacués et le feu a été rapidement maîtrisé par les pompiers. Les véhicules visés sont des véhicules civils, qui appartiennent aux familles. C’est un nouveau cap qui est franchi » déclare le colonel Yves Marzin. Selon le maire de la ville, Jean-Philippe Blanc : « Deux voitures ont pris feu sous l’auvent de l’immeuble, ce qui a provoqué l’incendie de la façade. Des fenêtres ont fondu, d’autres ont explosé, mais la fumée n’est pas rentrée dans les appartements, il ne devrait heureusement pas y avoir de relogement ». Les services techniques de la ville sont mobilisés pour rétablir l’eau et l’électricité.
Pour le général Olivier Kim, commandant la région de gendarmerie de Bourgogne-Franche-Comté :
« les événements sont récents, donc bien sûr il y a une véritable émotion, mais on ne doit pas céder à l’émotion, simplement en regardant l’histoire. Au cours de la guerre d’Algérie, certaines gendarmeries étaient l’objet d’attaques. Dans certaines régions de France, des mouvements séparatistes s’en sont parfois pris aux gendarmeries. Il faut réagir avec sang-froid, et ne pas tomber dans une paranoïa qui nous gênerait dans l’exécution de nos missions. En un mot, la gendarmerie continue de protéger ses concitoyens, comme elle le faisait avant ce type d’événement ».
C’est la deuxième fois en un mois que des locaux militaires isérois sont ciblés par des incendies, selon le même mode opératoire. Le 21 septembre, c’est la gendarmerie de Grenoble qui a été touchée, plus exactement les locaux techniques du groupement de gendarmerie de l’Isère. Un feu revendiqué par des membres de la mouvance anarcho-libertaire sur le site internet Indymedia. Rappelons que cet incendie a opportunément détruit une partie des éléments d’enquête sur la disparition de la petite Maëlys de Araujo…
Déjà à Limoges, le 19 septembre, cinq véhicules garés sur un parking de la caserne Jourdan, abritant le groupement de gendarmerie de la Haute-Vienne, avaient été détruits par les flammes. Dans les deux cas, la mouvance liée à l’extrême-gauche est suspectée d’être à l’origine de ces incendies, qui coïncident avec ceux ayant visé la société Enedis, qui installe les compteurs électriques Linky, à Grenoble et à Limoges.
Au moment des faits, le Figaro avait indiqué que la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) s’inquiétait du risque de dérives de certaines factions de l’ultragauche et redoutait un scénario analogue à celui qui vit la formation du groupe terroriste Action Directe, formé et entraîné par le KGB avec quelques piges pour le Mossad…
Il n’est pas étonnant que dans une ville détenue par l’extrême gauche comme Grenoble, la vermine se sent chez elle. Assurés de l’impunité gouvernementale, les nervis rouge et noir (non, il ne s’agit pas de hooligans de l’OGC Nice ou du Stade Rennais) ont attaqué le 25 septembre des militants royalistes. Le 29 juin, leur torchon La Horde lançait la chasse à notre camarade Alexandre Gabriac, le tout aboutissant aux épisodes que l’on sait à Fontaine. Puisqu’on parle de La Horde, ces derniers se sentent menacé par le développement de la résistante catholique à Chambéry, citant même dans un article votre serviteur (nous en reparlerons).
Rappelons aussi qu’il y a quelques années (en 2011-2012 je pense), des blattes courageusement anonymes avaient fiché les mouvements patriotes, avec également publication des photos des enfants des militants, précisément dans la région de Grenoble. Ce n’est pas d’aujourd’hui que datent les problèmes. Déjà, le 20 avril 1944, à Voiron, on tuait les bébés de 15 mois pour crime de filiation…
Hristo XIEP
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