Etat Islamique, Boko Haram ? « Je dis que la CIA et le Mossad sont derrière ces organisations » (le président du Soudan sur Euronews)

Ce ne sont pas des vaccins.Ce qu’est un vaccin.Un vaccin, tel qu’il a été accidentellement découvert par Jenner, contre la variole, systématisé par Pasteur, est une version morte ou atténué du virus ou de la bactérie, qui ne peut plus déclencher la maladie, et qui est injecté pour donner à l’organisme la possibilité de reconnaître les vrais agents infectieux, les virus ou bactéries dangereux. Dans un vrai vaccin, le microbe est tellement peu nuisible, qu’il faut rajouter des substances irritantes, les adjuvants, pour provoquer une réaction de l’organisme, pour qu’il identifie le microbe, virus ou bactérie, comme nuisible.
Par la suite, le système immunitaire reconnaitra l’agent infectieux, le microbe, et le combattra.

L’efficacité des vaccins contre des maladies graves a été plusieurs fois vérifiée. La croissance démographique catastrophique d’une grande partie du monde, de l’Afrique en particulier, est une preuve massive de la validité du principe des vaccins. (Parfois, des adjuvants mal choisis, ou une mauvaise conservation du vaccin, peuvent provoquer de rares effets secondaires graves).

Le vaccin de ValnevaLe vaccin que développe l’entreprise française Valneva est un vrai vaccin. Il contient le coronavirus du Covid-19 sans son ARN intérieur. En fait, il n’y a que l’enveloppe du virus. il ne peut donc se reproduire et infecter l’organisme. Par contre, cette enveloppe contient plusieurs protéines reconnaissables par le système immunitaire. Si le coronavirus vient à muter, si la fameuse protéine « S », de pointe, vient à être modifiée, il reste les autres protéines de l’enveloppe pour identifier le coronavirus. Le vaccin classique de Valneva sera donc plus capable de s’adapter et de prévenir les différents variants résultants des fréquentes mutations du coronavirus.
Pour l’instant, le vaccin de Valneva, lui aussi en phase III, montre plus d’efficacité et beaucoup moins d’effets nocifs que les substances autorisées par le gouvernement français. Il reste néanmoins interdit en France

Ce que l’on veut nous injecterPar contre, les quatre substances injectables que notre gouvernement macronien a autorisées, conseille, et rend quasiment obligatoires, ne fonctionnent pas comme un vaccin.

Leur injection dans l’organisme introduit une information génétique qui ordonne à nos cellules de fabriquer la protéine de pointe, ou « spike », c’est-à-dire dans l’état actuel des connaissances, la partie la plus toxique du virus.
Cette protéine, une fois fabriquée, va faire ce pourquoi elle est faite. Elle va se fixer sur les cellules humaines qu’elle rencontre, et faciliter introduction de molécules dans ces cellules. En priorité, elle va se fixer donc sur les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins, les cellules du sang, ou celles des organismes bien irrigués comme le cœur, les poumons, les organes sexuels, et le cerveau, puisque cette molécule étant plus petite qu’un virus ou une bactérie, elle peut franchir la barrière hémato-encéphalique qui protège le cerveau.
Il existe donc le risque d’introduire des prions dans les cellules du cerveau.

Notre système immunitaire à son tour va faire ce pourquoi il est fait. Il va combattre tout ce qui porte cette protéine « spike » irritante. il va donc combattre effectivement le virus, mais aussi toutes les cellules de notre organisme sur lesquelles sont fixées ces protéines de pointe « S ». Le système immunitaire est donc éduqué à attaquer de nombreuses cellules de l’organisme qui a reçu l’injection à code génétique.

PerversitéOn est devant une démarche perverse, qui consiste à apprendre à un corps humain, à se faire du mal à lui-même.
C’est le même mécanisme qu’en psychologie, où le pervers vous explique que vous êtes mauvais, pour vous amener à vous faire du mal à vous même.

Logiquement, il va donc apparaître des thromboses, des myocardites, péricardites, des problèmes sur les organes sexuels. puisque la protéine spike franchi la barrière hémato-encéphalique encore plus facilement que le virus, il va apparaître des AVC, des troubles neurologiques divers.
On constate effectivement, des dépressions sévères, des pertes cognitives, ceci pour le cours terme.
Beaucoup de cas de cancers foudroyants en quelques semaines, sont rapportés après vaccination.

En fait il est étonnant qu’il n’y ait pas plus de dégâts.
On peut soupçonner que devant la difficulté de produire, emmagasiner, et transporter dans des conditions de grand froid des milliards de doses, une partie des flacons n’aient contenu en réalité que du liquide physiologique (moins cher et moins risqué).

Il est clair que leur objectif n’est pas de sauver des vies mais de faire un maximum de profit. C’est pourquoi nous ne verrons aucune campagne médicale qui préconisera des traitements efficaces à faible coût.
Ces criminels savent ce qu’ils font :
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