François Hollande, nouveau Ponce Pilate ? Est-ce pour éviter le sacro-saint « pas d’amalgame » ?
Le président de la République dans son communiqué en date du 2 avril 2015 condamne le massacre de 148 Kenyans. Il omet de préciser deux réalités :
- ils ont été tués à cause de leur Foi chrétienne
- les coupables sont des musulmans qui ont agi au nom d’Allah en épargnant les étudiants musulmans.
http://www.elysee.fr/communiques-de-presse/article/attaque-terroriste-au-kenya/
Attaque terroriste au Kenya
Le président de la République exprime sa solidarité avec le peuple kenyan, qui doit faire face au terrorisme le plus abject, celui qui s’attaque à la jeunesse, au savoir et à l’éducation.
Il s’associe à la douleur des nombreuses victimes de l’attaque contre l’Université de Garissa et présente ses condoléances au Président du Kenya, Uhuru Kenyatta.
La France se tient aux côtés des autorités kenyanes et est prête à coopérer avec elles dans la lutte contre le terrorisme.
Aujourd’hui comme hier, l’histoire se répète.
Matthieu 27– 24 « Pilate, voyant qu’il ne gagnait rien, mais que le tumulte augmentait, prit de l’eau, se lava les mains en présence de la foule, et dit: Je suis innocent du sang de ce juste. Cela vous regarde. »
C’est la deuxième fois que François Hollande plaque son prisme idéologique pour nier la réalité. Puisque la première fois, en février dernier, il a oublié de préciser que les 21 « ressortissants » égyptiens étaient coptes donc chrétiens et qu’ils étaient morts en martyrs, victimes du Djihad de musulmans.
L’évêque de Gap, Mgr Di Falco, rappelle cette semaine lors d’une interview à la radio que c’est à cause de cet indifférentisme « que l’on est arrivé à la Shoah ».
La réaction de l’Elysée aurait-elle était la même si cela avait concerné des juifs ou des musulmans ?
Chrétiens d’Orient : Silence, on tue !
Marcel KIVIN
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Le pape François a rythmé les fêtes de la Nativité et de la nouvelle année 2018 par son antienne favorite centrée sur les migrants et les réfugiés.
La suite : « Ayant choisi d’employer le langage musical, vous l’abîmez, puisqu’une antienne ne rythmise rien en delà d’elle-même. En plus, le calendrier possède son propre rythme, auquel même ce pape est assujetti. »
Pourquoi le Pape ne conseille-t-il pas de rétablir les Pays exotiques dans leurs Frontières,
au besoin par la Force,
afin d’éviter à leurs ressortissants de quitter leurs Pays ?
Les migrants ne sont certainement pas heureux de quitter leurs Pays …
« semper deconare »
Imbroglio fidèle à lui même.
Rien n’est plus frappant que la proximité intellectuelle entre le pape François et le jésuite français Michel de Certeau (1925-1986).
Voici un extrait du pedigree de ce pseudo-catholique :
« Mai 1968 est une date charnière pour lui : Michel de Certeau voit, dans la contestation étudiante de mai 1968, « la force existentielle de l’expression de la contestation », « la créativité, l’imagination et la pluralité qui s’expriment sans tabou », et reconnaît finalement dans ce mouvement « sa propre aspiration à ne jamais se laisser identifier et enfermer dans quelque identité ». Cette prise de position le fait remarquer par les milieux universitaires laïcs.
À la rentrée universitaire 1968, il commence à enseigner dans les universités d’État : d’abord à Vincennes (Paris VIII) ; en 1972, il passe à Jussieu. Cependant l’expérience de mai 1968 est surtout pour lui l’occasion de dégager une notion qui marquera sa vision des choses : « la rupture instauratrice ». Pour lui, l’histoire, celle de l’Église en particulier, se résume en quelque sorte à des « mai 1968 » à répétition, des conflits naissant constamment au sein de l’Église pour la faire progresser. Les institutions, dont il se méfie, sont qualifiées par lui de « pourriture » au sens biologique du terme, parce que, à ses yeux, elles essaient en vain de fixer ce qui bouge par nature et qu’elles pourrissent et se décomposent dans ce travail de retardement inefficace. »
Source: http://laportelatine.org/vatican/le_pape_francois/michel_de_certeau_maitre_du_futur_pape.php