Fabrice Sorlin, ancien président de Dies Irae

Suite à l’affaire des Infiltrés de France 2, le groupe politique de Bordeaux, Dies Irae avait été gravement tracassé par la Justice. La Justice qui, bien longtemps après, vient enfin de lui donner raison. Les médias qui firent grand bruit auront-ils autant à cœur de réparer leurs torts ?

Voici à ce sujet, le communiqué de Fabrice Sorlin, son ancien président, qui a été publié sur le site de Dies Irae:

Et ce qui devait arriver arriva… enfin !

L’avis de classement sans suite, dans l’affaire dite des « Infiltrés » nous est parvenu par le biais de notre avocat. Il est signé des mains de la Vice-procureur de la République Madame Isabelle Gentil. Ce petit bout de papier, que nous n’avons jamais douté d’obtenir a l’immense avantage de nous réhabiliter publiquement (puisque les médias, eux, ne le feront pas). Il met donc un terme juridique à 4 années de soucis. Mais ce n’est pas ce passé qui nous intéresse aujourd’hui mais bien l’avenir que nous trace cet avis de classement : adieu faux, flash, torchons et autres cuvées diffamatoires des journalistes ; Rendez-vous est donné dès aujourd’hui devant la XVII° chambre, à tous ces bons vieux pigistes et chroniqueurs qui par souci de ne jamais écrire ce qui touche à la Vérité, ont si souvent déversé mensonges et calomnies à notre égard.

L’enquête, close il y a maintenant plus de trois ans, a su prouver les nombreux mensonges des journalistes, alors que pas un membre ou même un sympathisant de notre mouvement n’a été reconnu coupable de quelque délit que ce soit.

Nonobstant les mises en examen de l’agence CAPA, de Matthieu Maye -de son vrai nom Matthieu Beurier- et de France 2, pour montage et atteinte à la vie privée, l’affaire des « Infiltrés » est donc définitivement terminée.

Avant de tourner franchement la page, je tiens à remercier une dernière fois tous les camarades et compagnons de route de l’époque : ensemble traînés dans la boue, salis et malmenés ; ensemble lavés de ces accusations proférées par des menteurs professionnels.

Nous avons tenu bon dans la tempête, nous pouvons en être fiers !

Je remercie aussi ces centaines de personnes, qui nous ont soutenus et aidés de quelque manière, et qui nous laisse, de cette histoire certes douloureuse, un souvenir fort de solidarité et d’amitié. Merci !

Enfin un petit clin d’œil s’impose en direction des Caroline Fourest et autres Matthieu Beurier, grands inquisiteurs de la pensée unique, véritables pieds nickelés du journalisme français qui parlent beaucoup des Droits de l’Homme, mais qui n’acceptent guère que l’on puisse penser autrement qu’eux. Nous avons souffert grâce à vous pour nos idées, et nous sommes aujourd’hui encore plus forts et plus nombreux à défendre ce que nous défendions hier. Merci pour votre aide !

L’association Dies Irae a fermé ses portes depuis mars 2012, date à laquelle elle a été dissoute de notre fait, et d’un commun accord avec le bureau. Nous restons bon prince, car l’écrire dans ce communiqué final permettra peut-être à des journalistes comme Vincent Jauvert de l’Obs (mais il y en a tant d’autres) de ne plus se ridiculiser en écrivant le contraire.

Ainsi DI est mort, alors Vive DI !

Vive l’Europe Chrétienne !

Fabrice Sorlin

A noter également que l’IBP a fait appel du jugement rendu le 16 octobre dernier suite à sa plainte en diffamation contre Antenne 2, que le tribunal n’avait pas reconnu estimant qu’Alain Pujadas et ses comparses étaient de bonne foi dans leurs mensonges.

Cet article vous a plu ? MPI est une association à but non lucratif qui offre un service de réinformation gratuit et qui ne subsiste que par la générosité de ses lecteurs. Merci de votre soutien !

MPI vous informe gratuitement

Recevez la liste des nouveaux articles

Je veux recevoir la lettre d'information :

Nous n’envoyons pas de messages indésirables ! Lisez notre politique de confidentialité pour plus d’informations.

Les commentaires sont fermés

Abonnez-vous à CARITAS !

Le numéro 2 de la revue Caritas est enfin disponible en prévente sur MCP !

Militez,

En achetant le n°1 de CARITAS : Lutter contre la haine anticatholique

En s’abonnant à cette revue : la revue CARITAS !