Ce lundi 7 mars 2016, en soirée, 800 convives sont attendus au dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF).
Parmi les personnalités déjà annoncées : François Hollande, Manuel Valls, Bernard Cazeneuve, Najat Vallaud-Belkacem, Emmanuel Macron, Anne Hidalgo, Nicolas Sarkozy, Alain Juppé, François Fillon et Bruno Le Maire.
Roger Cukierman en sera pour la dernière fois le grand organisateur. En mai, le CRIF lui désignera un successeur.
Tout ce « gratin » parlera bien évidemment « d’antisémitisme ».
Rappelons que, l’an dernier, une fuite avait permis d’apprendre que le prix du couvert était fixé à 900 euros, dont 800 euros déductibles des impôts !
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C’est très intéressant, malheureusement, peut-être du fait que l’auteur pointe justement une certaine féminisation de la Religion catholique, il semble s’en éloigner et par là même demeure incomplet.
Son travail ne peut porter s’il lui manque le fond religieux, car on a beau expliquer comment, c’est pourtant ne pas donner la cause. Tout se rejoint, et la prière comme les temps apocalyptiques ne sont surtout pas à exclure…
L’Autorité du Père ne peut être restaurée, et par cela la Famille, que dans une perspective à la fois politique et religieuse ! Or à considérer rien qu’humainement, l’œuvre semble impossible.
Je n’ai pas encore regardé la vidéo, mais on dirait qu’il fait une découverte avec sa phrase concluant l’entretien :« Et si cette dérive des moeurs était voulue… »